Disparition - L’adjudant-chef Gérard David.

Publié le 24 novembre 2011

C’est avec une grande tristesse que ses collègues et amis de travail ont appris le décès de l’Adjudant-Chef professionnel Gérard David, du C.T.A. Ouest, survenu à l’âge de 59 ans après plusieurs mois de maladie.

L’Adjudant-Chef Gérard David, né le 11 août 1952 au Blanc - Mesnil (93), était marié et père de deux garçons, Jérémy et Julien, tous deux sapeurs-pompiers volontaires au CIS Bocca. Apprécié de tous, il était titulaire des médailles d’argent, de vermeil et d’or des sapeurs-pompiers.

Adjoint au chef de service du C.T.A. Ouest depuis 7 ans, il était reconnu pour sa gentillesse et son sérieux. Il incarnait la disponibilité et la volonté de bien faire pour le service.

Après avoir effectué son service national au sein du Bataillon des Marins-pompiers de Marseille de 1970 à 1973, il était entré au Corps de Cannes le 1er février 1973 en tant que sapeur-pompier 2ème classe puis avait gravi les échelons jusqu’à devenir adjudant-chef.

Ses obsèques seront célébrées le lundi 28 novembre à 9 heures au Reposoir de l’hôpital de Cannes suivies d’une cérémonie à 10h30 au Crématorium de Cannes la Bocca.

Les dernières actualités
29 octobre 2025
Chronique d'histoire : 1950 - L'entretien du matériel dans les centres ruraux
Via nos deux précédentes chroniques, nous avons découvert tour à tour, l’arrivée des premiers fourgons d’incendie normalisés départementaux puis la formation des sapeurs-pompiers des nouveaux corps ruraux.
15 octobre 2025
Chronique d'histoire : 1950 - La formation dans les nouveaux centres de secours ruraux
La volonté de création des premiers centres de secours ruraux actée dès 1946 s’assortissait d’une évidence : l’impératif de formation de ces nouveaux sapeurs-pompiers.
24 septembre 2025
Chronique d'histoire : Les premiers véhicules de lutte contre l’incendie du SDIS 06
Alors que les principales villes de notre département possédaient des autopompes communales, les deux premiers véhicules à rejoindre le parc départemental des engins de notre SDIS, n’étaient pas, à proprement parler des « voitures spécialisées de pompiers ».